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 Moon fait une fic ! extraordinaire

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Moon


Moon

Féminin
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Messages : 49
Emploi/loisirs : regarder du yaoi,regarder la tv,regarder les bishos,regarder les bishos dans des yaoi,manger,dormir

Moon fait une fic ! extraordinaire Empty
MessageSujet: Moon fait une fic ! extraordinaire   Moon fait une fic ! extraordinaire EmptyMer 25 Mai - 18:20

Eh oui ! ben en faite non en faite non g lu ma toute première fic (bon euh en faite sa fait la 2eme si on compte la fic collective ^^) e fin bref c une fic yaoi ke g trouver sur un blog ^^ jespere ke sa va vous plaire ^^

Vendredi, 15h07, gymnase Chestnut, salle 307, un garçon assis au deuxième rang
Regardait le ciel en rêvassent.

Et ce jeune homme, ben c'est moi...
Je m'appelle Lilian. J'ai environ 16ans, les cheveux courts, noir et les yeux bleu-vert, avec une taille moyenne et une carrure fine. J'ai un style presque BCBG, polo kaki, jeans, et basket de marque.

Je pensais en ce 15h10 au week-end qui ce présenté devant moi. Un week-end sans parent, un week-end avec juste mon frère...
Mais ma rêverie du s'arrêter là, le prof me « força » à répondre a sa question de mathématique.
Malgré mon manque d'attention d'avant je réussi à répondre sans problème, ce qui est chez moi naturel étant fort à l'école.
La cloche finit par enfin sonnez ce qui me fit lâcher un soupir de soulagement. Je pris mon sac et rejoins Arnaud. Lui c'est mon meilleur ami, il n'est pas vraiment beau. Il est blond, petit et très musclé, des yeux bruns et une tête ronde qui n'arrange rien. nous sortîmes alors les deux en discutant de chose et d'autres en ce dirigent vers deux filles sorties plus tôt qui nous attendaient. Elles se sont deux bonnes copines qui sont meilleures amies et qui d'ailleurs ne sont pas vraiment pareil.
Une grande, un peu enrobée et une petite et mince. Mais malgré sa elles s'entendaient très bien. Nous nous arrêtâmes prés d'elles, et Arnaud pris la parole :


Arnaud : Sa vous dis d'aller s'acheter une glace ? j'ai trop faim !
La grande : Ouai moi sa me dit trop en tout cas ! répondis la grande
La petite : Pff...tout de tout façons toi, Cerise ta toujours faim !
Cerise (la grande) : Même pas vrai...
Lilian : Nan elle a raison
Cerise : Je suis vexée là Malou et Lilian vous êtes méchant !
Malou (la petite) : Roooh on rigole !


Quelque instant plus tard, Cerise éclatait de rire. Elle n'arrive jamais à boudé longtemps.


Arnaud : Bon alors c'est réglé... go on y va !
Lilian : Heu...moi je vais renter plutôt. Je n'ai pas envie de glace de toute façon...
Malou : Nan Lil reste avec nous, moi je veux te voir un peu !
Lilian : Mais heu je dois faire mes devoirs et ranger ma chambre !
Cerise : mais ta tout le week-end ! il y a pas tes parents !
Malou : ha ha coincé tu reste avec nous !

Je me résignai alors à les suivre en me disent qu'il fallait que je rentre le plus vite possible.
Les heures restée avec mes amis, pourtant, me parurent interminable...

Vers 18h ils me laissèrent enfin rentré chez moi. Tout en marchant je me rendis conte que me
retrouvé, face à face avec le seul être qui reste dans ma maison m'angoissait. Ce retrouvé seul avec mon frère m'enchantais et en même temps me terrifiais, malgré que j'aille attendu sa toute la journée. Pourquoi ? parce que je me suis rendu compte que mon attirance envers lui n'était pas que familial et cela me paressait plus qu'anormal. Je pris une grande bouffée d'air et ouvrit d'un coup la porte.

Je trouva mon frère, aussi beau que d'habitude, devant la télé, en train de siroté un thé-froid. Il était beau avec ses cheveux noir et ses yeux bleus tout comme moi mais ces traits sont plus fin et moins musclé et il dégage beaucoup plus de charme que moi et il a surtout un putain joli cul...hum. Son style chez lui est plus décontracté mais très soigné.

Mon frère ce leva et quitta des yeux la télé pour tourner alors sa tête pour savoir qui venait de rentré. Je pus alors me plongé dans le bleu azur de ces yeux ce qui me fit frémir.


Mon frère : hé salut t'enfin là ! ta fait quoi tout ce temps ?


Lilian : désolé Aaron j'ai été mangé une glace avec des amis. Je t'es autant manqué que sa ? dit-je en me moquant

Cette phrase déstabilisa Aaron, il détourna le regard.


Aaron (son frère) : nan...c'est... c'est juste que j'ai faim et que c'est toi qui dois faire à manger!

En me disant sa il me regarda avec une lueur des plus noir...


Lilian : ouai ouai c'est bon je vais le faire mais alors c'est toi qui met la table. Parce que j'en ai marre de tout faire.

Lui répondis-je avec le même regard

Nos échanges sont, j'avoue, très bizarre. Mais c'est à cause de moi...
J'ai malheureusement dérapé il y a presque une semaine.


Flash back !

21h.
Je commencais a m'endormir qu'en quelqu'un toqua à ma porte.
Entré !
C'était bien sur mon frère qui chercher un jeu d'ordinateur. Je me levai alors pour allez chercher l'objet de ses désirs quand, en m'encoublant, je tombai sur le lit avec le mien (de désir, donc mon frère). Nous étions yeux dans les yeux, l'un sur l'autre, lui en bas, moi en haut. Et je fus alors indescriptiblement attiré par ces magnifiques lèvres. Je m'approchai de lui pour finir collé ma bouche contre la sienne et avant que je m'en rende compte j'avais déjà pris d'assaut l'accès a sa langue et commença un baiser presque endiablé. Je m'arrêtai quand même malgré mon envie de continuer. Aaron me regarda avec de grand yeux apeurer, ce redressa en quitta ma chambre sans dire un mot.
Il revenu quelques minutes plus tard de la rage dans le regard et me dit d'un ton sec :
Ne refais jamais sa ! j'suis pas un pédé moi je veux plus que tu me touches et ne reparle jamais de ce qui vient de ce passer !
Et repartit encore plus en colère qu'a son arrivée. Pour ne pas le perdre j'ai suivis ce qu'il ma dit mais je me demande toujours pourquoi il ne ma pas repousser pendant que je l'embrassais si il n'aimait pas sa...


Fin flash back !

De retour à la cuisine, je me posta devant la cuisinière pour commencer des nouilles aux légumes quand la main d'Aaron m'effleura les fesses. Ce geste pourtant furtif m'électrifia. L'avait-il fait exprès? Je me retournai pour le regarder mais il été concentré sur ces assiettes. Il ne l'avait (malheureusement ?) surement pas fait exprès. Me se geste me remis toute mes question dans la tête. Devais-je réessayer de le tester pour savoir s'il ne m'aime vraiment pas comme je l'aime ? Raaah pourquoi les choses ne peuvent jamais être simple !

J'étais en plein dans mes pensées quand le téléphone sonna.


Aaron : va répondre !
Lilian : putain tu fais chier ! tu ne peux pas y aller ?

Je me résignai malgré ma colère.


Lilian : Halo ?
Malou : Salut ! c'est Malou ! heu...enfaite je suis toute seule ce soir et... bon merde je vais pas tourner autours du pot ! je me ramène chez toi parce que je stresse toute seule !
Lilian : heu...ok =) on mange des crêpes soit là dans 30minutes !

Je raccroche et retourne dans la cuisine


Lilian : Malou viens manger sa te dérange ?
Aaron : de toute façon tu lui à déjà dit de venir V_V
Lilian : désolé T_T
Aaron : pff...je te jure t'es vraiment con des fois

Ce garçon a vraiment un caractère de cochon. Nous continuâmes nos activités, jusqu'à ce que mon amie arrive, mais je ne pouvais pas à penser a autre chose qu'à lui. Mais dans qu'elle merde je me suis mit moi encore. Je suis amoureux de mon frère ! c'est déjà difficile d'être gay mais en plus j'étais obligé de tomber amoureux de lui ! je dois être maudit ou un truc comme sa c'est pas possible autrement...

Au bout de 20minutes de préparation du plat et cogitage complet nous étions enfin à table.

Malou n'arrêtez comme d'habitude pas de parler, mais cette fois je l'en remercier parce que je n'avais aucune idée de quoi parler avec mon frère


Malou : puré Lil' c'est trooop bon !!!
Lilian : oui je sais je suis le meilleur =D
Aaron : mmmh...ouai j'avoue pas mal
Lilian : même toi t'avoue ! héhé je suis fort !
Malou : franchement je ne sais pas comment tu fais moi je suis trop une merde pour cuisiner...blablabla

Je ne l'écoutais plus en me retournant je croisa le regard de mon frère qui pour une fois ne détourna pas le regard. Je profita de cet instant pour le tester. Je pris un bout de la boule vanille, posée sur ma crêpe, sur une cuillère et commença à la suçoter en « mimant » une fellation tout en le regardant dans les yeux. Sa réaction ne se fit pas attendre en quelques secondes il vient aussi rouge qu'une tomate et il se détourna.

J'étais fier de moi ! et de l'effet que je faisais à mon frère. Je ne lui été alors pas si indifférent que sa...

Mais je voulais pousser l'expérience plus loin. Je cherchai, discrètement la jambe d'Aaron tendit que celui la parler à mon amie. Quand je l'eu enfin trouvait, je commença à monter doucement ma jambe contre la sienne, en lui la caressant en même temps. Alors qu'il parlait de ces résultat scolaire, il s'arrêta d'un coup à ce contact et me regarda furieux avant de reprendre sa conversation le plus normalement possible.

Si il croyait que juste ce regarde me ferait m'arrêter il avait tord. Je monta encore plus haut, j'arrivais à ces cuisses. Il avait finit de parler alors il me regarda de nouveau mais cette fois différamment. Ce regard la me supplier plutôt d'arrêter. Il essaya sans succès de m'enlever le pied de là. J'étais bien décider xP je descendis entre ces jambes légèrement ouverte pour toucher une partie intime de son anatomie qui était d'ailleurs à mon étonnement légèrement durcie, et de le découvrir me fis le même effet.

Je commença quelques vif va et vient a cette endroit tendit que mon frère essayé désespérément de ce dégager de cette mauvaise posture sans attiré l'attention de Malou ce qui n'était pas chose facile.

Alors que je reprenais la conversation avec elle tout en continuent avec mon pied Aaron ne pus s'empêché de lâcher un léger gémissement.


Aaron : hummpf...
Malou : Aaron sa va ?
Aaron : heu...je oui j'ai juste mal au ventre

Et il se dégagea de mon emprise pour aller aussi vite qu'il put ce calmé sur le canapé.
Je finis le repas avec Malou en parlant de tout et de rien

Vers 23h elle partit enfin. Mon frère était déjà allé se coucher. Je décidai d'aller le voir pour mettre les choses au point. J'ouvris direct la porte de Aaron.


Lilian : ha c'est bon tu dors pas. Elle était sympa cette soirée nan ?
Aaron : putain mais à quoi tu joues ! tu m'as... fait des trucs bizarres toute la soirée et la t'arrive tranquille ! t'es qu'une salope mon gars ! tu veux faire quoi me baiser c'est pour sa que tu fais ça ?
Lilian : te baiser je veux aussi mais dans l'immédiat je veux juste ça !

Et je lui pris sa tête entre mes deux mains et l'approcha de mon visage pour y déposer ma bouche contre les sienne avant de lui lécher les lèvres pour qu'il les ouvre ce qu'il fit s'en attendre et je pus enfin « gouter » sa langue que je voulais tant.

Contre toute attente, juste après que j'aille stopper mon baiser, Aaron se mit à pleurer. Je voulu m'approcher de lui pour le réconforté mais il me cria, tout en continuant de pleurer, de dégageait et me mit dehors de sa chambre avant que je m'en rende compte.

Je retournai dans ma chambre ne savant pas quoi faire d'autre. Et d'innombrables questions commencèrent à tourner dans ma tête. Pourquoi c'est-il mit à pleurer ? pourquoi il me repousse toujours après ? à cause de ces foutus questions je resta éveillé un bon moment ressassent encore et encore les mêmes phrases. Mais à force j'en conclu qu'il fallait que j'en parle avec Arnaud. Mon esprit est trop embrouillé pour tout démêlé tout seul. J'espère qu'il ne sera pas dégouter en apprenant que je suis gay et qu'il m'aidera !

12h30 je me réveille, je crois que j'ai un peu trop dormi (^_^). Bizarre il n'y a pas de bruit dans la maison. Je sors de ma chambre et cherche désespérément âme qui vive dans tout l'appartement. C'est alors que mon ventre criant famine me persuade d'abandonner et d'aller manger. Je tombe alors sur un mot de mon frère posé sur la table.


« je suis parti en ville. Je reviendrai surement vers 17h. »

Sa veut dire quoi surement ? putain heureusement que c'est un ange mon frère parce que sinon sa me ferait flipper, je ne veux surtout pas le perdre. Bon revenons à ma priorité manger ! >_<.

Faut que j'appelle Arnaud, sa deviens vraiment pressent j'arrive même plus à me concentré sur la télé !direction téléphone.


Arnaud : ouesh ouesh lil' !
Lilian : faut que tu m'aides !
Arnaud : ouai je veux bien c'est quoi ton problème ?
Lilian : ramènes-toi chez moi je t'expliquerai tout !
Arnaud : ok mec j'arrive dans 10min.

Et je raccrochai attendant avec impatience son arrivée tout en essayant de préparé ce que j'aillais lui dire. Il faut surtout pas que je lui fasse peur, alors je ne vais pas lui dire que je suis amoureux de mon frère je vais lui dire que c'est heu...confidentiel voilà !

Ding dong

Je m'en vais ouvrir la porte. Tiens c'est Arnaud bizarre ! (xD)


Lilian : viens rentre je suis en train de manger tu veux quelque chose ?
Arnaud : nan je veux juste savoir ce qui te tracasse !

J'allai alors m'assoir sur une chaise et mon meilleur ami fit de même. Je commençai alors mon « récit ».


Lilian : ben voilà il y a pas longtemps j'ai découvert que les filles ne m'intéressait plus.
Arnaud : hé ce n'est pas grave c'est une mauvaise passade. Sa va te revenir !
Lilian : heu...je crois que ta pas tout compris et sa passera pas parce que...
Arnaud : parce que quoi ?... va si accélère je tiens plus là.

Un peu pervers sa fin de phrase. Merde faut que je reste concentré la c'est une conversation sérieuse.


Lilian : parce que... j'aime les hommes...
Arnaud : attend sa veut dire que t'ai gay ?

Ouille ! vu le ton anormal qu'il a pris j'espère qui ne va pas partir en courant.


Lilian : ben heu...oui.
Arnaud : ha ok bon à savoir !
Lilian : comment sa bon à savoir ?
Arnaud : ho non rien. Et c'est juste pour sa que tu m'as appelé ?
parce que c'est pas vraiment un problème sa.
Lilian : nan le souci c'est que je suis amoureux d'un gars et il dit ne pas aimer les hommes mais
quand je l'embrasse ou autre, il me rejeté que quand c'est finit.
Arnaud : ben parce qu'il ne veut pas admettre qu'il est homo.
Lilian : oui mais la dernière fois que je l'ai embrassé il c'est mit à pleurer...
Arnaud : ha ouai quand même. Pff...c'est dur là...peut être que si je savais qui c'était...
Lilian : NAN ! sa je ne dirai pas !
Arnaud : mais va si fait pas le gamin !
Lilian : merde j'ai dit non !
Arnaud : ok, ok, bon ben le seul truc que je peux faire pour l'instant
c'est te sortir pour plus que tu y pense !

Et il me prit le bras et m'obligea presque à sortir de chez moi.

Avant aujourd'hui je savais pas qu'il était possible de faire autant de choses en une après-midi ! il me fit tout faire, bowling, cinéma etc....


Lilian : merde il est déjà 18h ! mon frère doit m'attendre !

Je rentrai donc à la maison, avec toujours Arnaud sur mes talons.

Une fois dedans, il n'était pas là. Je commençai à m'inquiété. Mon meilleur ami me regardait bizarre...

Arnaud : il n'est pas là. Mais stresse pas il va revenir vient on va manger dehors je t'invite !

Et pour la deuxième fois de la journée il me ramena à l'extérieur et m'emmena dans un bar.


Lilian : ta dit qu'on allait manger !
Arnaud : ouai mais tout compte fait ce bourré la gueule c'est mieux. =D

Quel con ce mec quand même. Mais enfaite sa me va, comme sa je pourrais peut-être enfin ne plus y pensé. Il commanda une bière pour lui et un jack Daniels sec avec 2glaçons pour moi.


Arnaud : enfaite c'est vraiment vrai que t'es gay ?
Lilian : ben si je te le dit !
Arnaud : alors tu voudrais pas baiser avec moi ?

Je ne savais pas si il était en train de rigoler ou pas à ce moment là parce qu'il l'eut dit avec un petit sourire en coin. Je finis par me marrer avant de lui répondre préférant ce côté-là de la chose.


Lilian : t'es fou je baise pas avec n'importe qui moi xD ta de ces questions toi ! nan mais même si tu disais pas ça pour rire je le ferai pas parce que je te l'ai dit j'aime quelqu'un d'autres.
Arnaud : halala ils sont trop romantiques ces tapettes.

Et il éclata de rire avant de me repayer un verre. D'ailleurs il continua à m'en offrir d'autres, durant toute la soirée, plus alcoolisés les uns que les autres. Si j'avais su ce que sa allais engendrer je l'aurais peut-être pas bus mais à ce moment je voulais juste oublier.

Quelques heures et verres plus tard je ne tenais même plus debout.

Mon meilleur ami après avoir presque danser toute la soirée revint enfin vers moi.


Arnaud : houlà sa va toi ? t'as pas l'air bien.
Lilian : je crois... que je tiens plus debout ! mais on s'en fout parce que je suis gay !
Arnaud : je vois pas le rapport. xD
Lilian : moi nan plus!... bon mon gars...maintenant on va danser !

Et je l'attrapai par la manche et l'emmena sur la piste de danse manquant de me chier la gueule au moins une dizaine de fois.

Je commençai à me déchainer sur la piste et grâce à je ne sais quel dieu je ne finis part terre que 10minutes plus tard.

C'est alors qu'Arnaud décida de me ramener.

Un moment après nous arrivâmes devant chez moi. Ne tenant toujours pas debout, il décida de me porté jusqu'à mon lit.

Et c'est là que tout dérapa.

Après m'avoir déposé, il revint sur ses pas et ferma ma porte


Lilian : mon petit Arnaud ! tu fais quoi ?
Arnaud : comme sa on serra sur de ne pas être déranger.
Lilian : raaah !...mais de quoi tu parleuuuh !

Il s'approcha alors de nouveau de moi et ce mit à califourchon sur mon corps. Et m'embrassa avec fouge. Ne comprenant pas ce qui ce passait étant bourré et étant en gros manque d'amour. Je répondis à son baiser.


Arnaud : sa fait longtemps que j'attendais sa.

En disant sa, ses yeux brillèrent d'une étrange lueur de désir mélanger à une autre de sadisme.

Et Il se mit à déboutonnait doucement ma chemise. C'est alors que je réalisa ce qu'il était en train de faire.


Lilian : nan arrête ! je n'ai pas envie !

Mais il continua à mon plus grand désarroi et il commença même à s'attaqué à mon jeans.

Quelques secondes plus tard je n'étais plus qu'en caleçon et j'essayais en vain de me débattre pour qu'Arnaud me lâche mais il était costaud et il me prit mes deux mains d'une, les tenant fermement en dessus de ma tête. Il entreprit alors à ce frotté contre mon ventre. Ce qui malheureusement commença à m'exciter malgré moi.

Mon « meilleur ami » le vit tout de suite, ce qu'il montra avec un énorme sourire en coin.


Arnaud : tu vois que tu en as envie enfaite !

Merde, foutu corps !

Il stoppa soudent son action et se mit à lécher mon torse en accentuent sur mes tétons, en les mordillant même quelques fois. Ce supplice était trop bon. J'en oubliai que c'était un de mes amis qui me le prodiguer. Je me détendis alors et ferma les yeux pour mieux appréciait. Je bandais sérieusement, ce qui ne déplut pas à mon futur amant.

Il arriva alors vers le bas de mon ventre et mit sa main sur mon entre jambe se qui me fit lâcher un léger gémissement. Appartir de cet instant je ne pouvais plus rien faire. l'alcool et le plaisir ne font pas bon ménage, ma tête me tourner trop et je ne contrôlais plus rien !
Je crois que l'homme en face de moi s'en rendit, une fois de plus, compte.

Le sous-vêtement d'Arnaud était complètement déformée par son érection qui devait surement commençait à lui faire mal. il m'assit alors contre le dossier de mon lit, enleva son caleçon et me mit sa queue déjà gorger de plaisir devant ma bouche. Il me la fit ouvrir et y entra son « dard », avant d'entreprendre des vas et vint voyant que je n'étais capable de plus rien. Le voir prendre son pied avec mon corps et l'entendre gémir me dégouter et en même temps m'exciter, tout cela était très bizarre.

Il ne prit pas long à venir dans ma bouche. Le gout acre du sperme faillit me faire vomir.


Arnaud : y'a pas à dire même dans cette état tu es toujours putain de bandant.

Je voulu parler pour l'engueuler mais j'avais beau essayer rien ne sortait de mes lèvres, alors ce pervers me retourna sur le ventre et me caressa les fesses puis ôta le dernier vêtement que je possédais. Il releva mon bassin avant de m'écarter les fesses.


Arnaud : je te préviens sa va faire mal !

Avant que mon cerveau ne comprenne ce qu'il venait de dire, il me pénétra violament, et malgré mon état, j'émis un long hurlement de douleur.


Arnaud : haaa...j'adore quand tu cries

Quel sadique ! et en plus il n'y va pas doucement ! j'eu mal pendant un bon moment, j'étais presque au bord des larmes, jusqu'à ce qu'il toucha ma prostate et me fit enfin lâcher un gémissement de plaisir. A ce moment là cette possession enragée, en fin de compte, me plaisait presque. Arnaud commença à renter et ressortir de moi avec force. il n'y avait qu'un seul mot pour exprimer sa : il me défonçait ! et sa me faisait pourtant crier d'allégresse.


Arnaud : hann...tu es si étroit ! han... c'est trop bon !
Lilian : haaa...mmmhh

La jouissance commençait à monter dangereusement. Des spasmes me parcouraient de partout et je ne pouvais me retenir d'arquer mon corps pour que sa virilité entre encore plus profondément en moi. Il fit alors un mouvement plus sec que les autres, se qui me fit serrer les fesses, et il jouit en moi. J'essayais de ne pas venir et me mordit presque les lèvres au sang pour ne pas le faire mais en sentant sa semence chaude couler, je me libera, malgré moi, dans un grand cri aigu.

C'est à ce moment là que mon frère décida d'ouvrir ma porte. Je retomba sur mon lit avec mon amant toujours sur moi. Je vis alors le regard d'Aaron. Il était perdu d'abord puis il changea en rage, il claqua la porte et ce mit alors à courir.

Ho combien j'aurai donné pour pouvoir me lever le suivre et pouvoir tout lui expliquer mais je ne pus rien faire appart pleurer.

Arnaud ce rhabilla en 4ème vitesse et partit me laissant désespérait et souiller de son sperme qui me coulait toujours entre les jambes.

Le lendemain matin, je crois que j'avais pleuré toute les larmes de mon corps. J'été en colère contre Arnaud mais encore plus contre moi. J'été énervé d'avoir céder au désir et de m'être laissé faire. Énervé de l'avoir laissé partir et de n'avoir rien pus faire.

Les jours suivant ne furent pas plus gai. Mon frère me fuyait comme la peste et je ne sais pas ce que Alex avait raconté à notre bande mais plus personne ne m'adressait la parole. Je ne voyais donc plus personne, alors je cogitait dans ma tête mes idées les plus noirs, ce qui me déprimais encore un peu plus. Et en quelques jours, aller à l'école ou rester à la maison, m'amuser ou ne rien faire, tout m'était devenu égal. Je n'étais plus surpris pas rien, je m'habillais n'importe comment et surtout je ne dormais presque plus.

Je crois que ma vie entière sans lui ne valait rien. Rahlala voila que maintenant je vire à l'eau de rose, pitié achevez moi.

Un soir j'arrivais tellement pas à dormir que je décida de prendre des benzodiazépines (médicament calmant à accoutumance). Qu'est-ce que c'était bien, j'ai enfin pu dormir ! et en plus je ne pensais plus à Aaron...Mais, par la suite, je pris de plus en plus de calmants pour dormir et le matin un stimulant pour me réveiller et pouvoir bosser à l'école. Ma tête me parlait de mon frère que quand je n'étais pas sous médicaments, ce qui m'allait très bien. Mais je ne réagissais toujours pas à mon environnement et je ne parlais toujours pas à mes parents.

Et en classe je n'étais guère mieux malgré mes stupéfiants. Oui je bossais mais je ne répondais jamais en cours et ne parlais pas non plus. Mais le pire c'est que toute l'école avait appris que j'étais homosexuel et tout ces putains de footballeur et autres machos de merde ne pouvaient pas s'empêcher de me faire chier. Je n'avais vraiment pas besoin de ça.

Mais un jour en cours où j'étais vraiment entrain de me faire chier je demanda pour aller au toilette, ce qui bien sur me fût accordé. Mais à penne j'étais au milieu du premier couloir que quelqu'un d'autre sorti de ma classe. C'était Enzo, un des footballeurs, en sortant il me regarda bizarrement. Normalement ça aurais du me stresser mais je n'avais toujours pas de sentiment.

Il me suivi jusqu'au WC sans rien dire et entra dedans avec moi. Là je m'assis sur le bord du lavabo et m'alluma une clope. Oui, parce qu'en plus de tout ce que j'ingurgitais déjà, j'avais commencer à fumer, je sais je suis con. Lui, il c'était mit au centre de la pièce et continuait à me dévisager, toujours avec cette air. On resta comme sa un moment, lui me contemplait et moi je cherchais ce que ces yeux voulait dire. Mais merde je suis bête je la connais cette lueur, c'est une lueur de désir ! nan ce n'est pas possible un sportif de l'école qui veut me sauté dessus...o_O Bon pourquoi pas le tenter pour voir ce qui va faire.

Je me leva de ma place et le regarda d'un regard brulant en le matant de haut en bas. Il ne bougeait toujours pas alors je vins vers lui et m'approcha le plus possible de son corps en le frôlant mais sans le toucher. Et je fis pareil avec nos lèvres, je les rapprochèrent dangereusement et les enlevèrent aussi vite quelle était apparues. Je finis par le contourné et me dirigeais vers la porte pour sortir d'un pas félin mais il ne se déplaça même pas. Il n'avait pas céder...mais d'un côté il ne m'avait pas repoussé non plus. Sa me rappela Aaron. Quand tout à coup je sentis quelque chose me pousser fortement vers la porte. C'était Enzo. Il n'avait pas l'air content il avait le visage tout rouge ou était-ce du à une trop grande envie ? allait-il me taper ou m'embrasser ? Bon je suis sur que vous l'avez devinez, il m'a bien sur embrassé. Il m'a d'abord pris le menton pour le monter jusqu'à ce que ma bouche atteigne la sienne et là il la captura d'un baiser impossible à décrire. Tantôt doux et passionnait, tantôt sauvage et enragé. Il me mordait même de temps en temps ma lèvres d'en bas. (huhu heureusement que c'est un mec sinon sa serait ambiguë xD ).
J'aurai voulu qu'il ne s'arrête jamais mais il en décida autrement. Il me prit violement les bras et me tira contre lui, je pus alors me rendre conte de son anatomie. Il était apparemment bien musclé. J'en salivai d'avance et avait hâte de le voir sans cette ignoble t-shirt. mais à peine je finissais ma rêverie qu'il me dirigea dans une des cabines et me plaqua contre la porte. il recommença à m'embrasse mais cette fois plus brutalement. Il passa ces mains sous mon pull et me caressa le torse. Moi je décidai d'ouvrir son pantalon, ce qui ne parut pas lui déplaire.

Mais pour une fois j'avais envie de faire plaisir ou d'assouvir mon envie de queue... je ne sais pas encore mais je retourna la situation, c'est donc lui qui fût coincé entre la porte et mon corps excité. Et je repris ce que j'étais entrain de faire. Après lui avoir partiellement enlevé son jeans et son caleçon, j'entrepris de descendre pour arriver fasse à l'objet de ma convoitise déjà fortement dressée. Je sentis alors son cœur s'accélérer et son visage ce crispé légèrement par angoisse surement mais il reprit très vite son visage de caïd. Alors je me décida à commencer d'abord doucement en donnant quelques vifs coups de langue sur sa verge puis de plus long qui faisait presque tout la longueur. Un gémissement lui échappa déjà, je crois que malheureusement sa va être vite fait...

faisons le alors au moins monté aux 7 eme ciels ! je relevai ma mains et pris en main ses testicules pour les masser lentement. Il ne tenait plus. Sa me fit sourire mais Il m'appuya sur la tête d'une main ce qui me contraint à prendre sa virilité en bouche. J'entamai de délicate succion. Il dut ce mordre la main tellement mon traitement était bon mais il ferma quand même ses yeux pour mieux appréciait. Voyant que je le torturais trop j'accélérai enfin mes mouvements, ce qui le fit presque crier. Étais-je aussi bon sucker que sa ou simulait-il ? il donnait un coup de bassin ce qui le fit entrait encore plus dans ma bouche. J'accéléra encore un peu et sentis son sexe au bord du jouissement.


Enzo : haaann ! L.Lil..Lilan je crois que...

Je sais maintenant qu'il ne simulait pas. Il n'arrivait même plus à finir ces phrases...mais je compris quand même qu'il allait bientôt jouir et je pense qu'il voulait que je me retire mais j'avais envie d'avoir le gout si spécial du sperme frais dans ma gorge (^^).Après un coup plus dense il éjacula enfin dans un râle sonore.

Je me relevai alors pour regardé sa mine toute en sueur. Il remonta tout son Bazard et referma sa braguette.


Enzo : ha t'es une vraie salope toi mais putain Quesque tu suce bien !

Une vraie salope...ce terme me plaisait...


Lilian : ha ha je sais ! reviens quand tu veux !

Et il quitta les toilettes pour rejoindre notre classe ce que je fis aussi quelques minutes plus tard, je regrettai quand même de ne pas lui avoir retirait son t-shirt. En entrant tout les regards ce posèrent sur moi avec soit du dégout, sois de l'envie. Je crois qu'ils ont compris ce qu'il c'était passé on à surement mis trop de temps. Mais malgré sa j'en ai toujours rien à faire.

Quelques jours plus tard, sa avait fait tout le tour du collège. Et je devins la pute du gymnase, chaque garçon qui me le demander gentiment quelques choses de pervers, je le lui faisais. Enfaite j'étais limite devenu accro au sexe et ça ne me déplaisait en aucun points...sauf que je pensais toujours à mon frère et que de ne plus lui parler ni le toucher m'affaiblissait un peut-plus chaque jours. Je meure à petit feu...


Jour après jour mon corps et mon esprit sombré de plus en plus dans la démence. Je n'avais même plus besoin de drogues pour être dans cet état, le dédain que me porter mon frère me suffisait. Il ne me parlait même plus, pas un seul mot ne sortait de sa bouche pour moi. Était-ce encore possible de vivre sans l'amour de ma vie ? Ma moitié ? Celui avec qui j'avais tous partagé ? En plus d'être sentimentalement anéanti, le simple reflet de mon être me donnait la nausée. Je n'étais plus qu'un spectre, un zombie, salit par tout ce sexe obscène. Les cours me devenait insoutenable, les pauses encore plus avec ces gens au regard méprisant et au chuchotement dans mon dos. S'en fut trop pour moi, il fallait que je parte construire une nouvelle vie loin de ceux qui avait causé ma déchéance.

Il était trois heures du matin quand mon cerveau arriva à cette conclusion j'entrepris alors de faire un sac pour mettre les choses essentiel dont j'avais besoin. Quelques habits, de la bouffe et du fric était les seuls trucs dont j'avais besoin. Je sortis ensuite de mon entre en descendu à pas de souris le grand escalier de l'appartement qui me conduirait directement a la case « sortie ». Je prie tout les dieux que je connaissais pour que personnes ne m'entende et se réveille.

Plus que quelques pas et c'était la délivrance de ce suspense infernale. S'a y est j'avais refermais la porte derrière moi ! Maintenant s'aligné devant moi nombres de maison blanche bourgeoise. Mais ma fuite n'était pas encore terminée, après direction le métro. En route je pensa a tout ce que j'allais abandonné et au problème que j'allais rencontré pour formé ma nouvelle vie. Allais-je réussir ? à ce moment j'en étais encore convaincu...

Je payai le billet avec la monnaie que j'avais emportée. Une fois assis dans le wagon j'observa les lieux. Il n'y avait qu'une personne à part moi. C'était un homme, dans la quarantaine, le regard sur de soi, les cheveux en arrière et le petit ventre qui va avec. On ne pouvait pas dire qu'il était beau... alors que je le regardais il leva la tête et se mit à faire pareille avec moi. Je tourna la tête par réflexe et me mis alors a me concentré sur la vitre. du coin de l'œil je le vis avancé et se posé vers moi. J'étais légèrement stressé et me demandais bien qu'est ce qu'il amenait vers moiArrivé devant moi l'homme me regarda de haut en bas pendant quelques instant. Il finit quand même par me dire se qui l'amener.


Homme : qu'est ce qu'un aussi beau jeune homme que vous, fait donc ici ?


L'intonation qu'il avait prise pour prononcer sa phrase avait tout de pervers mais étant quelqu'un de bien élevé je m'empressa de répondre.


Lilian : J'ai fui de chez moi parce que je ne supportais plus ma vie


Pourquoi lui mentir ?! Il avait l'air aussi saint d'esprit qu'une girouette, je n'avais aucune raison d'avoir des emmerdes. Pourtant ma phrase produit quand même une réaction à l'être devant moi mais pas celle que j'avais pensé. Cela le fit sourire. Ce foutait-il de ma gueule ou jouissait-il de voir quelqu'un encore plus dans la merde que lui ?? quoi qu'il en sois il continua la discussion.


Homme : donc t'es seul dans la rue et sans aucune tune ni logement ?


Mais quel chiant ce type ! N'avait-t-il rien d'autre a faire de sa vie qu'embêter les gosses qui fuguent ?...


Lilian : bien Monsieur et perspicace ! Pourquoi qu'est ce que sa te fait à toi que j'aille rien einh ??

Homme : ha ben c'est juste que je pourrai t'aider à te faire rapidement du blé et à te loger.
Ha je descends à cet arrêt ! Tiens c'est l'adresse pour ton taf. À bientôt gamin.


Il partit entre la porte me laissant seul avec le bout de papier dans la main. La page contenait seulement ceci :


Avenue Machan 46
Camden town



Etait-ce mon jour de chance ? je n'avais qu'une façon de le savoir c'était d'aller voir, en plus je n'avais rien à faire d'autre dans cette grande ville.

En sortant du métro j'avais quelques peu repris confiance en moi et en ma vie. Je me disais qu'après tout mon passé était derrière moi et que le futur ne pouvait être que meilleure.
Je marcha pendant 15 bonnes minutes pour arriver à l'endroit marqué. Le bâtiment que je voyais étais gris avec qu'elle que plaques de peinture en moins, le toit était d'un rouge criard et tout les volets étaient fermés sauf celui du premier étage. Cet édifice ne me donner vraiment pas envie d'y entrer mais encore si il n'y avait que sa je crois que je n'aurais pas hésité. Le gros problème était la pancarte qui était installée juste en dessous du toit qui indiquait : BORDEL HOMOSEXUEL.

Je me promis que si je retrouvais le couillon qui m'as fait perde mon temps je lui ferais bouffer son papier !!! Jamais de ma vie je ferais un travail aussi dégeulasse !! Il y'a vraiment des gens cons...
Je repartis ensuite bien décider à faire le tour de la ville et trouvé un travail convenable.

A la fin de la journée je n'avais toujours pas trouvé ce fameux job et me résolus à dormir dans un parc sur un banc avec les nombreux pigeons qui aller y passer la nuit avec moi. Heureusement que le temps fut clément et que ma nuit se passa sans encombre.

Toute la semaine suivante, je la passa à trouver une place dans n'importe qu'elle boutique que je rencontrai. Mais sans aucun papier, c'était plus dur que je ne le pensais. Après plusieurs semaine le temps devins vraiment mauvais, je n'avais plus aucun sous et sa faisait 3 jours que je n'avait rien avaler d'autre qu'un bout de pain qu'une gentille dame m'avait donner alors que je faisait la manche. Je puais et ne ressemblais plus à rien. Je passais mes journées à tousser, à me demander quel endroit je n'avait pas encore fait puis à quémander le moindre passant pour quelques pièces (que presque aucun de ces ingrats me passaient) et finir par courir me refugier à n'importe quels endroits alors que j'avais les flics au trousse.

Triste vie einh ? moi qui pensait avant que sa ne pouvait pas être pire... c'est la qu'en sortant ma couverture pour la nuit que le mots que l'homme m'avait donnait (et que je voulait lui faire bouffer) tomba du sac.

Avenue Machan 46
Camden Town

Était-ce la seule échappatoire à cette vie qui n'en valait pas la peine ? Voir même la seule échappatoire a mon décès précoce ? J'étais tellement perdu, tellement désespéré, tellement fatigué de vivre ainsi. Mais CA..., je n'arrivais pas à m'y résoudre, c'était si dégeulasse, si malsain. C'est surtout ma fierté qui n'arrivait pas à imaginer cette solution car mon ventre lui, si creux, était déterminé à y aller. Que choisir la fierté ou la vie ? Vous me trouvez bête non ? A hésiter entre vivre ou mourir mais j'étais tellement dédaigneux, hautain, noble, orgueilleux, présomptueux, prétentieux, vaniteux et encore bien d'autre que pour moi sa me semblait normal. J'ai passé tout ma vie à me croire supérieur et à mépriser les autres alors pourquoi aurais-je changé, même en ce moment qui pour moi est des plus sombres. Je n'arrivais pas à me décider.

Plus tard dans la nuit, la rue était des plus funestes. On aurait dis le décor parfait pour jack l'éventreur, le soir d'un de ces meurtres. De la brume partout et bien épaisses avec pour assombrir le tout des murs plus gris qu'un chat dans la nuit. Effrayant n'est ce pas ? Surtout quand couché par terre, près dormir, vous devinez à quelques mètres de vous, un groupe de jeunes apparemment quelques peu éméchés arrivé vers vous. Ils s'arrêtèrent, me regardèrent, se questionnèrent et finirent par m'adresser la parole.

Homme : Mais dis donc qu'est ce qu'on à là ? Un de ces putain de salopard de sdf toxico !! Alors les mecs on en fait quoi ?

J'attends la suite ^^



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Moon fait une fic ! extraordinaire

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